Au lendemain de la seconde intifada, et en réponse indirecte aux réactions de certains « intellectuels » occidentaux, Imre Kertész écrit dans son journal ( L’Ultime Auberge, Babel, Actes Sud, 2015, p.77) : « J’ai toujours été gêné par le mensonge drapé de sensiblerie qui entourait Auschwitz. A présent que l’Europe prend ouvertement position pour la destruction d’Israël, pour l’extermination des juifs et donc pour Auschwitz, les choses sont en quelque sorte plus claires. » (Ces quelques lignes sont amplement explicitées dans l’article de Balazs Berkovits (Revue K), dont nous indiquons le lien : https://k-larevue.com/le-7%e2%80%afoctobre-comme-non-evenement-pour-la-gauche-radicale-occidentale/) car ces mêmes "intellectuels" dénaturent sciemment (et idéologiquement) la vraie nature - leur lignage historique - des événements du 7 octobre.
Au lendemain de la seconde intifada, et en réponse indirecte aux réactions de certains « intellectuels » occidentaux, Imre Kertész écrit dans son journal ( L’Ultime Auberge, Babel, Actes Sud, 2015, p.77) :
RépondreSupprimer« J’ai toujours été gêné par le mensonge drapé de sensiblerie qui entourait Auschwitz. A présent que l’Europe prend ouvertement position pour la destruction d’Israël, pour l’extermination des juifs et donc pour Auschwitz, les choses sont en quelque sorte plus claires. »
(Ces quelques lignes sont amplement explicitées dans l’article de Balazs Berkovits (Revue K), dont nous indiquons le lien :
https://k-larevue.com/le-7%e2%80%afoctobre-comme-non-evenement-pour-la-gauche-radicale-occidentale/) car ces mêmes "intellectuels" dénaturent sciemment (et idéologiquement) la vraie nature - leur lignage historique - des événements du 7 octobre.