dimanche 12 avril 2020

C’est la porte du SEIGNEUR…

Non, je ne mourrai pas, je vivrai
pour raconter les œuvres du Seigneur

Psaume 118, 17



Pâques confinées

Non, je ne mourrai pas, je vivrai
pour raconter les œuvres du Seigneur
:
Certes le Seigneur m’a corrigé,
mais il ne m’a pas livré à la mort.
Ouvrez-moi les portes de la justice,
j’entrerai pour célébrer le Seigneur.
– C’est la porte du Seigneur ;
que les justes entrent !

Psaume 118, 17-20

jeudi 2 avril 2020

"Le fléau n’est pas à la mesure de l’homme"



« Le fléau n’est pas à la mesure de l’homme, on se dit donc que le fléau est irréel, c’est un mauvais rêve qui va passer. Mais il ne passe pas toujours et, de mauvais rêve en mauvais rêve, ce sont les hommes qui passent […]. Nos concitoyens […] oubliaient d’être modestes, voilà tout, et ils pensaient que tout était encore possible pour eux, ce qui supposait que les fléaux étaient impossibles. Ils continuaient de faire des affaires, ils préparaient des voyages et ils avaient des opinions. Comment auraient-ils pensé à la peste qui supprime l’avenir, les déplacements et les discussions ? » (Albert Camus, La peste)


Cène virtuelle