"L'Ecclésiaste, l'épicurien saducéen, nous pouvons l'imaginer comme un Horace qui laisse grande ouverte, dans chacune de ses cent maisons, la porte de l'infini : le voilà inconsolable parce que, par chaque ouverture, l'Infini fait irruption, se jette sur lui, lui mordant le foie plus cruellement qu'à un Prométhée."
Guido Ceronetti,
Le silence du corps, éd. LdP, p. 216.
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